voyage aléatoire au détour du Web
Informatique

Nouveau casque VR et lunettes chez META

Pour la rentrée Meta propose deux nouveau produits. D’une part, une nouvelle version de son casque de réalité virtuelle le Meta Quest 3, d’autre part une nouvelle génération de lunettes connectées chez Ray-ban.

Meta Quest 3

Le casque virtuel Meta Quest 3 est toujours basé sur le processeur Qualcomm Snapdragon XR2 mais il passe en Gen2 celui-ci améliore grandement les performances comparé à l’ancienne génération avec au passage le doublement de la puissance GPU. La définition du casque passe à 4K avec 2064 x 2208 pixels par oeil. Coté mémoire vive la RAM passe de 6 GB à 8 GB et pour le stockage le casque sera livré en deux version une de base de128 GB et une seconde de 512 GB contre 256 GB précédemment. Le casque dispose maintenant de la réalitée mixte avec une faible latence de 12ms comparable au casque d’Apple avec une image 4MP /18 PPD true color. Ce qui pour Qualcomm serait suffisant pour participer à une partie de ping-pong. Coté design la forme est sensiblement différente avec plus de finesse pour un poids qui reste identique.

Le casque est actuellement en pré-commande à 549.99€ pour la version 128 GB et 699.99€ pour la 512 GB sur le site de Meta.

D’autres informations en Anglais à découvrir dans le podcast de Lex Fridman.

Meta Ray-Ban

Les nouvelles lunettes connectées de Meta utilise le nouveau processeur Snapdragon AR1 Gen 1. Coté caméra elles disposent d’un nouveau capteur de 12Mp avec objectif HD grand angle pour des photos d’une résolution de 3024 x 4032 pixels et pour la vidéo un format de 1080p à 30 images/seconde avec un temps de capture limité à une minute. Il vous suffit de prononcer la formule magique « send a photo » pour que celle-ci rejoigne votre fil Facebook ou Insta. Vous pouvez aussi streamer directement du contenu vidéo sur ces plateforme.

Par rapport à la première génération la puissance sonore a été augmentée par 50% avec un doublement des basses, pour une écoute plus performante même en condition difficile (vent en extérieur ou bruit ambiant) , 5 microphones permettent de restituer pleinement l’ambiance sonore dans laquelle vous êtes plongée.

L’autonomie annoncée est de 36 heures en une charge, et point important elle sont maintenant étanche avec une protection IPX4 (5 ATM ou 50 mètres de profondeur). Le contrôle passe soit par une commande tactile soit par une commande vocale. Le nouvel accessoire utilise l’AI afin d’offrir des possibilités des traduction en simultanée ou la reconnaissance des objets, des personnes ou des endroits. Ce qui n’est pas sans poser des problème concernant votre vie privée. En effet il vous sera possible de filmer le plus discrètement possible n’importe qui, n’importe où sans pour autant que cette personne en soit informée. Pire l’AI sera à même de la reconnaître sans son consentement.

Enfin vous pouvez aussi changer verres et montures (Headliner ou Wayfarer) à travers plus de 150 combinaisons différentes.

En pré-commande à 329€ sur le site de Ray-Ban

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zeroll
Design

Histoire d’une cuillère à glace

Il y a des objets qui sont parfaitement adaptés à leurs usages, le plus souvent d’une grande simplicité, leurs images sont presque iconiques. On en vient presque à se demander si ils n’ont pas toujours existé tellement ils ont tendance à rendre la vie plus simple. Leurs histoires et ceux qui les ont inventés se sont perdus dans les limbes. Ainsi commence l’histoire d’une cuillère à glace…

Nous sommes en 1932, en Floride, West Palm Beach. Sherman L. Kelly est en vacances, il observe une vendeuse de glace, ses mains sont pleines d’ampoules à force de pousser sur sa cuillère. Les mouvements répétitifs finissent par rendre les poignets douloureux. Il se dit qu’il doit bien y avoir un meilleur moyen de débiter la glace. L’idée ne le quitte pas, et en 1933 il dépose un brevet.

L’objet est essentiellement en aluminium, un métal qui résiste à la corrosion et à l’oxydation et se trouve être un bon thermoconducteur, son manche est creux, un liquide permet l’échange thermique entre la main et la lame de la cuillère, celle-ci dégèle la glace et en facilite la découpe. L’objet fondu d’un seul bloc, il est simple, sans aucune mécanique, il ne nécessite donc d’aucune pièce de rechange. Son design permet l’utilisation de la cuillère aussi bien par des droitiers que des gauchers. Nous sommes en 1934, au milieu de la grande dépression. La cuillère à glace, permet de faire des rouleaux de glace pour former des boules. Elle ne comprime pas la glace, et permet de faire une économie de 20 à 30% du volume de glace. Ce dernier point est d’ailleurs présenté par son inventeur comme un argument de vente. Sur le brevet vous pouvez voir le chiffre 12. Il correspond à 12 portions par litre.

En 1935, Sherman Kelly fonde son entreprise, The Zeroll Co. Il s’établit dans son garage, Robinwood Avenue à Toledo, une ville au bord du lac Erie entre Cleveland et Détroit dans l’état de l’Ohio. Il travaille avec sa femme et distribue sa cuillère à glace fabriquée par la société Alcoa au prix de 2,25$. Disponible en cinq tailles, elle est garantie, satisfait ou remboursée dans un délais de cinq jours.

En 1936, durant sa première année de commercialisation, le produit s’écoule en plusieurs milliers d’exemplaires. C’est un vrai succès commercial. La guerre de 39-45 prive la compagnie d’approvisionnement, la production d’aluminium se ralentie. La fin de la guerre signe la reprise d’activité. Si l’on en croit le Wall Street Journal, à partir de 1946, c’est même la première entreprise pouvoir disposer d’un accès au métal. Sherman décède en 1950 à l’age de 83 ans.

Depuis 2004, la cuillère à glace Zeroll est entrée dans la collection permanente du Moma.

Source : Zeroll, Guy Keulemans

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Informatique

Les câbles sous-marins : un enjeu vital

Quand vous regardez en streaming un concert à l’autre bout de la terre il y a de très fortes chances pour que votre flux de données traverse les océans par un câble de fibre optique.

Le premier à tenter une communication avec un signal lumineux est Alexander Graham Bell avec son photophone capable de transmettre la voix sur une distance de 200 mètres. Si l’invention de la fibre optique remonte aux années 1930 il faut attendre 1950 pour en voir réellement l’application avec son utilisation en endoscopie. C’est l’introduction du laser, à partir de 1960 qui va véritablement révolutionner le champs des communications. Au début les transmissions sont limitées à quelques centimètres, mais à partir de 1970 s’ouvre le champs des longues distances par l’élimination des pertes. C’est à Chicago en 1977 qu’est réalisée la première communication téléphonique optique.

Aussi fine que la taille d’un cheveu la fibre optique utilise la réfraction de la lumière pour transmettre des informations sur des dizaines de milliers de kilomètres. L’un des câbles les plus rapide se nome Amitié, c’est un câble transatlantique dont le débit peut atteindre 400 Térabits par seconde, soit l’équivalent de 400 000 fois votre débit, et encore si vous avez la chance de disposer d’une connexion fibre rapide.

L’utilisation des câbles sous-marins débute en 1850, aujourd’hui bien que le développement des communications satellitaires ne cesse de croître, 99% des communications, que cela soit des données ou de la téléphonie, passent par ces câbles de fibres optiques sous-marins. On en compte pas moins de 552.

Global Internet Map 2018Telegeography

Google, Amazone, Microsoft, ou encore Meta, sont des acteurs incontournables de l’Internet, leurs trafics ne cessent d’augmenter en volumes. On estime que ces sociétés monopolisent à hauteur de 2/3 les liens de transmissions de données et chaque année, ils enregistrent à eux seuls, une progression de 45 à 60% sur les seules fibres sous-marines. Aussi appelés « hyperscalers », ce sont eux qui tirent les volumes vers le haut avec un contenu qui ne cesse de croître. Un câble transatlantique coûte entre 350 et 400 millions de dollars. Au delà des « datas centers », le réseau est l’artère devenue vitale pour les hyperscalers, ils en sont donc naturellement venus à investir dans les câbles sous-marins. Un investissement qui va dépasser les 10 milliards de dollars d’ici 2025.

Carte des liaisons fibres sous-marines

Google est, par exemple, propriétaire de nombreux câbles comme Curie, la colonne vertébrale de l’Amérique du sud et centrale, ou encore Dunant, Equiano, Firmina, ou encore Grace Hopper.

Certains câbles ne font qu’une centaine de kilomètres comme le Adria-1 , un lien entre la Croatie, la Grèce et l’Albanie long de 440 km. Mais d’autres, comme le récent 2Africa, dépassent les 45 000 km.

Mais la technologie a aussi ses limites. Sur la fibre le signal chute après une cinquantaine de kilomètres, il est nécessaire de l’amplifier jusqu’au prochaine répéteur. Ces répéteurs sont gourmands en énergie, en parallèle des câbles de fibres optiques, on trouve donc des câbles électriques en cuivre. Sur une liaison trans-pacifique, 18 000 volts sont requis pour alimenter les répéteurs. D’une façon générale, dans un soucis de sécurité en alimentation, celle-ci est doublée à chaque bout du câble. Un ensemble de procédés permettent une circulation des données sans perte décrite par le théorème de Shannon. Dans cette course au débit, la section du câble augmente elle aussi, avec aujourd’hui 24 paires de fibres optique par câble.

Le câble Transatlantique Marea de Microsoft, Meta et Telxius

Le diamètre d’un câble n’est en général pas plus gros qu’un tuyau d’arrosage. Même s’il est protégé par une gaine en acier, le problème n’est pas si savoir si il sera coupé mais quand. En effet, dans le monde, on dénombre une coupure tout les 3 jours, soit une bonne centaine annuellement. La responsabilité est partagée entre les ancres et les équipements de pêche : dragues, chaluts, … Plus le câble est proche du rivage, plus les risque de coupures sont élevés. A l’échelle planétaire, au total, seul une dizaines de câbles sont indisponibles en simultanés. Ces coupures demandent de se rendre sur zone avec un navire et un équipement ad-hoc. Une quarantaines de câbliers sillonnent les mers du globe. La France en possède neuf. Les délais de réparation oscillent entre une quinzaine de jours à plusieurs mois.

Coupure sur le câble d’Orange Kanawa : 1700 km entre Guyane et Martinique

Ce long réseau de câbles sous-marin se déploie sur plus d’1,5 million de kilomètres, près de 3 fois la distance terre lune, il est aussi stratégique. il n’est ni à l’abris des attaques terroristes ni des catastrophe naturelles. Quotidiennement, ces autoroutes, qui reposent au fond des mers, véhiculent plus de 10 000 milliards de dollars de transactions financières. Même si le maillage est dense et qu’une nouvelle route puisse prendre le relais en cas de coupure, il existe toutefois des points de défaillance uniques. Que ça soit en zone de faibles densités de population, comme le Groenland dont la connexion repose sur un câble unique; ou encore l’île de Taïwan, et ses 27 câbles qui pourraient devenir une cible privilégiée en cas d’attaque de son voisin.


Couper les câbles sous-marins est une pratique ancienne, une première qui remonte à 1898, en pleine guerre hispano-américaine, l’USS Zafiro sectionne en baie de Manille l’unique câble entre les Philippines au continent asiatique. Le privant pour ainsi dire de communication avec le reste du monde.
La Russie, avec des chalutiers ou encore sous couvert de navires scientifiques, cartographie le fond des mers depuis de nombreuses années. En Méditerranée, en Manche, ou en Baltique, les coupures se multiplient. Les grandes puissances se livrent une guerre hybride pour le contrôle des câbles sous-marins.
Les câbles sont si vulnérables qu’un seul homme peut parfois mettre en danger tout un pays. En 2007, au large du Vietnam, un pêcheur à prélevé plus de 50 kilomètres de câbles afin d’en revendre le cuivre, paralysant la moitié du trafic de son pays.

Les enjeux de demain passe par la construction de câbles sous-marins plus résistants, d’une infrastructure plus résiliente. Au delà de la multiplication des liens, c’est probablement l’adjonction d’une couverture satellitaire qui en sera la clef.

Source : The Conversation et Cnet

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Informatique

Google fête les 10 ans du Chromcast par une amende

Google va devoir se délester d’environ 339 millions de dollars en faveur de la société Touchstream, c’est en tout cas ce qu’a estimé un jury fédéral de Waco, dans l’état du Texas, vendredi dernier concernant une plainte pour violation de brevet du périphérique Chromecast.

La société New-Yorkaise Touchstream revendique la paternité du produit. Elle avait développée une application nommée Shodogg dés 2011, soit environ deux ans avant la sortie du Chromecast, permettant d’envoyer un flux vidéo d’un périphérique type téléphone vers un écran grand format. Cette technologie a fait l’objet de trois dépots de brevets : US8356251, US8782528, US8904289 .La société Google (Alphabet Inc.) ne pouvait donc ignorer son existence puisqu’une rencontre avait même été organisée entre les deux entités en décembre de cette même année. Google, n’avait pas donné suite mais avait donnée naissance, deux ans plus tard, au Chromecast.

Google, pour sa défense, affirme qu’il s’agit bien d’une création originale , et argumente sur le fait que les brevets déposés par le plaignant sont invalides.

Cette histoire c’est un peu David contre Goliath. Google a été condamné à 338,7 millions de dollars, soit environ 2% des bénéfices d’Alphabet pour les trois premiers mois de l’année fiscale en cours. Une paille quand on sait que les produits Chromecast sont déclinés sur plusieurs produits de l’entreprise. Toutefois, le géant Américain ne compte pas en rester là puisqu’il a d’or et déjà annoncé faire appel du jugement.

Source : The Register

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MSC Irina
Divers

Quel est le plus gros bateau du monde ?

Le plus gros navire au monde est actuellement un cargo, de type porte-conteneurs. Le MSC Irina est l’un des 89 porte-conteneurs construit en 2023, et livré à un moment où le marché est pourtant en surcapacité. Il appartient à l’armateur Mediterranean Shipping Company plus connu sous son acronyme MSC. Le groupe, leader mondial dans le domaine du transport de conteneurs, dispose d’une flotte de quelques 760 navires qui empruntent les 300 routes commerciales destinées à relier les 520 ports d’escales dans 155 pays. MSC revendique le transport de plus de 22 millions de conteneurs et ce annuellement.

La société fût fondée à l’origine par un capitaine de vaisseau italien originaire de Sorrente en 1970 : Gianluigu Aponte. Durant les premières années la compagnie maritime concentre ses liaisons avec le continent africain, puis viendront les Etats-Unis et l’Australie avec des navire rachetés d’occasions. En 1994 l’ouverture du marché Chinois permet à l’armateur de passer sa première commande pour deux navires capables de transporter 3 300 conteneurs. A partir des années 2000 le trafic explose, en à peine deux ans la quantité de conteneurs est multipliée par six. Son siège social est situé à Genève en Suisse.

Le MSC Irina a été construit en Chine par le groupe Yangzijiang Shipbuilding dans la province de Jiangsu. Avec ses 400 mètres de long, soit environ la longueur de quatre terrain de football, ses 61 mètres de large, et ses 23 mètres de tirant d’eau, il est capable de déplacer 240 000 tonnes de marchandises, soit environ 24 000 conteneurs. Empilés en colonnes de 25 conteneurs, la hauteur du bateau dépasse les 22 étages d’un immeuble, soit un peu plus de 61 mètres. L’ensemble des conteneurs transportés par ce géant des mers, placés bout-à bout, forme une ligne de plus de 144 kilomètres. Le MSC Irina navigue sous pavillon libérien et son port d’attache est Monrovia, il est destiné principalement aux transport de fret entre les ports de Chine comme Nansha à Guangzhou et les hubs Européens, avec en tête Rotterdam.

MSC Irina Photo : ZHANG JINGANG / Feature China/Future Publishing (Getty Images)

Le MSC Irina plus grand que l’Empire State Building

Si c’est navires sont actuellement les plus grands au monde, ils ne détiennent pas pour autant le record. Il y a eut plus gigantesque, avec les pétroliers géants ou supertanker, capables de transporter plus de 500 000 tonnes de pétrole. Le plus grand étant le Seawise Giant qui mesurait plus 468 mètres de long et 68 de large, quand au Pierre Guillaumat, qui portait, en toute modestie, le nom du président du groupe Français Elf son armateur, il atteignait 414 mètres pour 63 de large. Sa construction est réalisée en France par les chantiers de l’Atlantique. Le premier est parti à la casse en Inde en 2010, quand second, il a été démoli en Corée en Sud en 1983.

Le Seawise Giant le plus grand des pétroliers

Le Pierre Guillaumat fleuron de la flotte Elf

Le plus grand navire de croisière ne sera livré qu’en 2024. L’Icon of the sea, de la classe du même nom, est la propriété de la compagnie Royal Caribbean Cruise Line il a été construit par une société Finlandaise : Meyer Turku. Long de 365 mètres pour 66 de large avec ses 18 ponts, il transportera jusqu’à 5 610 passagers assistés par 2 350 membres d’équipage. Son départ est fixé du port de Miami, pour des croisières dans les Caraïbes. Si ça vous tente, comptez 2000 euros par personne pour une semaine.

L’Icon of the sea sera propulsé par du GNL, ce qui devrait réduire ses émissions de l’ordre de 20%.

L’Icon of the Sea, le plus grand bateau de croisière au monde

Par type de fonction, les plus grands navires jamais construit par l’homme étaient des pétroliers, aujourd’hui remplacés par des porte-conteneurs, viennent ensuite les navires dédiés à l’exploitation offshore, comme le Pioneering Spirit utilisé pour la construction des plateformes pétrolières ou gazières, les navires de croisières, les minéraliers, les vraquiers pour le transport de marchandises solides. Les bâtiments militaires sont loin derrière, avec les porte-avions, dont le plus gros fût l’USS Enterprise lancé dans les années 60 et retiré du service en 2012.

Si vous souhaitez connaitre la position en mer de ses porte-conteneurs, vous trouverez des information sur le MSC Irina ici et pour le MSC Loreto ici. Une vidéo est disponible ici.

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Informatique

Super Mario est un voleur de cryptos

Super Mario Forever est un clone de Super Mario 3, il est en téléchargement gratuit pour les nostalgiques. Mais Super Mario Forever, fort de ses 17 millions de téléchargements, cachait bien son jeu.

Le sympatique plombier, s’est transformé en voleur de jetons, c’est en tout cas ce que révèle Cycle Research and Intelligence Labs. Le jeu dissimule dans son programme d’installation un trojan sophistiqué capable d’aller chercher vos portes monnaies cryptos sur votre disque mais aussi d’espionner vos navigateurs et d’envoyer vos données sur un serveur Discord, et au final de miner du Monero à partir de votre ordinateur.

Le programme est discret puisqu’il échappe à la vigilance de nombreux antivirus y compris le logiciel defender de Microsoft.

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